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Be Bop A Lula

VIP-Blog de d-ange-heureux
  • 76 articles publiés
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  • Créé le : 15/05/2007 20:28
    Modifié : 10/09/2008 16:15

    Fille (17 ans)
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    Jimi Hendrix 2éme Version

    19/04/2008 13:39





    "All along the Watchtower" reprise
    Dire que l'on aurait pu insérrer cette chanson dans "Le Roi Danse", Je ne regréte pas de danser sur du Lully hein mais j'adore Vraiment Hendrix !
    18 Septembre 1970, jour de sa mort

    Commentaire de Claire (19/04/2008 19:36) :

    Excuse destinée à notre cher Bob car je croyais au plus profond de moi que l'auteur de la chanson n'était autre qu'Hendrix l'ayant étudier pour le bac... Sarah je partage ton "amour" d'Hendrix





    Bob Dilan 1ére version

    19/04/2008 12:53





    All along the watchtower



    Commentaire de claire (19/04/2008 13:33) :

    Ah un grand homme l'auteur original de cette chanson Jimmy Hendrix...





    Vendredi 28 Mars 2008, vers 16h57, bâtiment A , Lycée St Martin Rennes

    29/03/2008 15:08

    Vendredi 28 Mars 2008, vers 16h57, bâtiment A , Lycée St Martin Rennes


    Parfois l’annonce de la mort de quelqu’un est plus effroyable que la mort elle-même. Ils sont passés près de moi. Deux personnes pour les soutenir, tout les six. Le directeur très impressionnant et eux. Cela à refroidit tout le couloir. Personne ne savait ce qui c’était passé mais au fond on savait tous que quelque chose de terrible venait de se produire. J’ai lancé des regards inquiets, on m’a répondu par de l’étonnement et de la frayeur. J’était pétrifiée. Moi qui voulait simplement mon attestation. Signé par la main de Mr Jouatel. Des profs lui ont demandé ce qui c’était passé. Marqués eux aussi par ces larmes. Il leur a répondu que tout les deux venaient de perdre leur papa, cet après-midi. Elle est en première et lui en seconde, ils sont frères et sœurs. Ils n’ont pas réussi à joindre la mère alors c’est l’oncle et la tante qui sont venus les chercher. Des rumeurs, des incompréhensions. On ne comprend pas comment ça peut arriver à des gens que l’on croise tout les jours dans les couloirs. C’est terrible. Je fini par recevoir mon attestation. Tristesse dans les regards. En sortant de l’établissement, le directeur entre dans le secrétariat. Où sont-ils ? On repense à ce que l’on viens d’entendre. Ça fait mal de voir les autres souffrir. Mais je ne sais pas si j’ai envies de les revoir. C’est humain, je pense. Personne ne s’y attendait, je ne mis attendais pas. Marie-Jo était à la sortie du lycée. Je lui avoue ma terreur. J’apprend qu’elle ressent ce sentiment étrange elle aussi. Le directeur ne sait pas lui non plus comment réagir. Je rejoins mes amis. J’en parle, je raconte ce qui c’est passé. Ça me soulage un peu, mais tout le monde ne comprend pas. Je fini par oublier 5 minutes. Puis je me met à relater tout ça à Antoine. Abasourdit, il comprend que celui qui vient de perdre son père est dans sa classe. Il s’appel Etienne. Ça lui fait peur à lui aussi. Leur voiture passe près de nous. Une voiture assez grosse qui comporte au moins six places. On est tout près d’elle. Je voie la jeune fille en pleure. Je ne peux pas garder mes yeux sur elle. Je suis trop gênée. J’ai de la peine, pas au temps qu’elle mais ça me rend triste. La voiture s’éloigne. J’oublis.  Il m’a fallu le raconter à beaucoup de personnes. On oublis les visages tristes un moment. On s’occupe. Puis ils réapparaissent. Soutenus, entraînés presque vers la sortie. C’est culpabilisant. Mais on se dit, pourvus que ça ne nous arrive pas  à nous, à soi. Pauvre Antoine qui subit les interrogations des autres élèves de sa classe. Mais on ne sait rien de plus. Je n’aurais pas du entendre ce qui a été dis. Voir ce malheur. Mais j’y étais, j’ai eu peur. J’y repense, je ne sais pas si je vais oublier. D’ici quelques jours. Et puis arriverons des nouvelles, des rumeurs qui circuleront dans le lycée. C’est terrible la vie. C’est passé si près de moi, je me sent si concernée. J’espère, je ne veux pas connaître de si grands bouleversements. Je suis désolée pour eux. Je me repasse les endroits où j’ai croisée la jeune fille Laure Hélène je crois. Je veux me souvenir d’elle qui riait ou souriait. Je ne la connaît pas, j’ai pourtant l’impression d’avoir pénétrée dans ses sentiments, dans un endroit que je n’aurais pas dû. Je suis gênée. Je suis triste. Je suis désolée. Il n’y a pas de mots pour exprimer ce qui c’est passé quand je les ais vu passer devant moi.

     

     



    Commentaire de anais (13/04/2008 23:49) :

    queskon en fait des trucs au repetition du roi danse c fou ptdr


    Commentaire de anais (13/04/2008 23:51) :

    je taime ma sara


    Commentaire de Géraldine (17/04/2008 16:22) :

    Sarahhhhhh , trop marrant Antoine vient de faire un skyblog , attends , je te passe l'adresse xxtoitoinexx . C'est vrmt pliant :D ( J'adhere toujours pas à ta musique sinon :D )





    Ses voeux furent exaucés, les dieux les entendirent : ils touchèrent leurs parents; la mûre se teignit de pourpre en mûrissant; une même urne renferma la cendre des deux amants.

    26/03/2008 20:48

    Ses voeux furent exaucés, les dieux les entendirent : ils touchèrent leurs parents; la mûre se teignit de pourpre en mûrissant; une même urne renferma la cendre des deux amants.


    Si si, j'insiste, Lis ce passage! De toute façon il est destiné plus particuliérement à mes amis Littéraire qui en on entendu parlé! C'est mon passage préféré des Métamorphoses d'Ovide! Bien avant que BM n'en parle! Je trouve ça fabuleux et beaucoup plus cours que Roméo et Juliette! Vraiment c'est très poétique! Lis le j'insiste!

    Les amours De Pyrame et Thisbé, Les métamorphoses, Ovide , livre IV (55, 166)

    Pyrame et Thisbé effaçaient en beauté tous les hommes, toutes les filles de l'Orient. Ils habitaient deux maisons contiguës dans cette ville que Sémiramis entoura, dit-on, de superbes remparts. Le voisinage favorisa leur connaissance et forma leurs premiers noeuds. Leur amour s'accrut avec l'âge. L'hymen aurait dû les unir; leurs parents s'y opposèrent, mais ils ne purent les empêcher de s'aimer secrètement. Ils n'avaient pour confidents que leurs gestes et leurs regards; et leurs jeux plus cachés n'en étaient que plus ardents.

    [65] Entre leurs maisons s'élevait un mur ouvert, du moment qu'il fut bâti, par une fente légère. Des siècles s'étaient écoulés sans que personne s'en fût aperçu. Mais que ne remarque point l'amour ? Tendres amants, vous observâtes cette ouverture; elle servit de passage à votre voix; et, par elle, un léger murmure vous transmettait sans crainte vos amoureux transports.

    Souvent Pyrame, placé d'un côté du mur, et Thisbé de l'autre, avaient respiré leurs soupirs et leur douce haleine : "Ô mur jaloux, disaient-ils, pourquoi t'opposes-tu à notre bonheur ? pourquoi nous défends tu de voler dans nos bras ? pourquoi du moins ne permets-tu pas à nos baisers de se confondre ? Cependant nous ne sommes point ingrats. Nous reconnaissons le bien que tu nous fais. C'est à toi que nous devons le plaisir de nous entendre et de nous parler".

    C'est ainsi qu'ils s'entretenaient le jour; et quand la nuit ramenait les ombres, ils se disaient adieu, et s'envoyaient des baisers que retenait le mur envieux. Le lendemain, à peine les premiers feux du jour avaient fait pâlir les astres de la nuit; à peine les premiers rayons du soleil avaient séché sur les fleurs les larmes de l'Aurore, ils se rejoignaient au même rendez-vous.

    [83] Un jour, après s'être plaints longtemps et sans bruit de leur destinée, ils projettent de tromper leurs gardiens, d'ouvrir les portes dans le silence de la nuit, de sortir de leurs maisons et de la ville; et, pour ne pas s'égarer dans les vastes campagnes, ils conviennent de se trouver au tombeau de Ninus; c'est là que doit leur prêter l'abri de son feuillage un mûrier portant des fruits blancs, et placé près d'une source pure.

    Ce projet les satisfait l'un et l'autre. Déjà le soleil, qui dans son cours leur avait paru plus lent qu'à l'ordinaire, venait de descendre dans les mers, et la nuit en sortait à son tour; Thisbé, tendrement émue, favorisée par les ténèbres, couverte de son voile, fait tourner sans bruit la porte sur ses gonds; elle sort, elle échappe à la vigilance de ses parents; elle arrive au tombeau de Ninus, et s'assied sous l'arbre convenu. L'amour inspirait, l'amour soutenait son courage. Soudain s'avance une lionne qui, rassasiée du carnage des boeufs déchirés par ses dents, vient, la gueule sanglante, étancher sa soif dans la source voisine. Thisbé l'aperçoit aux rayons de la lune; elle fuit d'un pied timide, et cherche un asile dans un antre voisin. Mais tandis qu'elle s'éloigne, son voile est tombé sur ses pas. La lionne, après s'être désaltérée, regagnait la forêt. Elle rencontre par hasard ce voile abandonné, le mord, le déchire, et le rejette teint du sang dont elle est encore souillée.

    [105] Sorti plus tard, Pyrame voit sur la poussière les traces de la bête cruelle, et son front se couvre d'une affreuse pâleur. Mais lorsqu'il a vu, lorsqu'il a reconnu le voile sanglant de Thisbé : "Une même nuit, s'écrie-t-il, va rejoindre dans la mort deux amants dont un du moins n'aurait pas dû périr. Ah ! je suis seul coupable. Thisbé ! c'est moi qui fus ton assassin ! c'est moi qui t'ai perdue ! Infortunée ! je te pressai de venir seule, pendant la nuit, dans ces lieux dangereux ! et n'aurais-je point dû y devancer tes pas ! Ô vous, hôtes sanglants de ces rochers, lions ! venez me déchirer, et punissez mon crime. Mais que dis-je ? les lâches seuls se bornent à désirer la mort".

    À ces mots il prend ce tissu fatal; il le porte sous cet arbre où Thisbé dût l'attendre; il le couvre de ses baisers, il l'arrose de ses larmes; il s'écrie : "Voile baigné du sang de ma Thisbé, reçois aussi le mien". Il saisit son épée, la plonge dans son sein, et mourant la retire avec effort de sa large blessure.

    [121] Il tombe; son sang s'élance avec rapidité. Telle, pressée dans un canal étroit, lorsqu'il vient à se rompre, l'onde s'échappe, s'élève, et siffle dans les airs. Le sang qui rejaillit sur les racines du mûrier rougit le fruit d'albâtre à ses branches suspendu.

    Cependant Thisbé, encore tremblante, mais craignant de faire attendre son amant, revient, le cherche et des yeux et du coeur. Elle veut lui raconter les dangers qu'elle vient d'éviter. Elle reconnaît le lieu, elle reconnaît l'arbre qu'elle a déjà vu; mais la nouvelle couleur de ses fruits la rend incertaine; et tandis qu'elle hésite, elle voit un corps palpitant presser la terre ensanglantée. Elle pâlit d'épouvante et d'horreur. Elle recule et frémit comme l'onde que ride le zéphyr. Mais, ramenée vers cet objet terrible, à peine a-t-elle reconnu son malheureux amant, elle meurtrit son sein; elle remplit l'air de ses cris, arrache ses cheveux, embrasse Pyrame, pleure sur sa blessure, mêle ses larmes avec son sang, et couvrant de baisers ce front glacé : "Pyrame, s'écrie-t-elle, quel malheur nous a séparés ! cher Pyrame, réponds ! c'est ton amante, c'est Thisbé qui t'appelle ! entends sa voix, et soulève cette tête attachée à la terre !"

    [145] À ce nom de Thisbé, il ouvre ses yeux déjà chargés des ombres de la mort; ses yeux ont vu son amante, il les referme soudain. L'infortunée aperçoit alors son voile ensanglanté; elle voit le fourreau d'ivoire vide de son épée; elle s'écrie : "Malheureux ! c'est donc ta main, c'est l'amour qui vient de t'immoler ! Eh bien ! n'ai-je pas aussi une main, n'ai-je pas mon amour pour t'imiter et m'arracher la vie ? Je te suivrai dans la nuit du tombeau. On dira du moins, Elle fut la cause et la compagne de sa mort. Hélas ! le trépas seul pouvait nous séparer : qu'il n'ait pas même aujourd'hui ce pouvoir ! Ô vous, parents trop malheureux ! vous, mon père, et vous qui fûtes le sien, écoutez ma dernière prière ! ne refusez pas un même tombeau à ceux qu'un même amour, un même trépas a voulu réunir ! Et toi, arbre fatal, qui de ton ombre couvres le corps de Pyrame, et vas bientôt couvrir le mien, conserve l'empreinte de notre sang ! porte désormais des fruits symboles de douleur et de larmes, sanglant témoignage du double sacrifice de deux amants" ! Elle dit, et saisissant le fer encore fumant du sang de Pyrame, elle l'appuie sur son sein, et tombe et meurt sur le corps de son amant.

    Ses voeux furent exaucés, les dieux les entendirent : ils touchèrent leurs parents; la mûre se teignit de pourpre en mûrissant; une même urne renferma la cendre des deux amants.

    pix: "Carrer del Paradis" en Barcelone ! (L)






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